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12 mars 2011 6 12 /03 /mars /2011 23:20

            Une question me taraude l’esprit depuis longtemps et je pense ne pas être le seul à me poser cette question. Comment se fait-il que des personnes justes et pieuses souffrent-elles tellement et sont victimes de terribles malheurs ? A priori, si Dieu attend de nous d’être des personnes justes et pieuses alors il devrait apporter le bonheur et l’allégresse à des personnes qui y arrivent! Et pourtant, nous pouvons entendre à droite et à gauche untel qui est tellement pieux souffre de telle maladie, untel qui est tellement juste a perdu sa femme, untel croule sous des problèmes financiers terribles ! Essayons d’analyser cela de manière plus profonde et plus objective.

            Dans la Meguilath Esther, (Chapitre 3, verset 4) il est dit à propos de Mardochée qui refusait de se prosterner à Hamann, ‘’ויהי כאמרם אליו יום יום ולא שמע אליהם’’ ‘’Et alors qu’on lui répétait chaque jour et il ne les écoutait pas’’. Hamann passait chaque jour devant Mardochée et ce dernier ne se prosternait pas, tout le monde disait et même criait à Mardochée de se prosterner mais néanmoins il leur tenait tête. Le Midrash nous explique à propos de cela que les descendants de Rachel font face aux mêmes épreuves dans leur vie et sont récompensés pareillement.  A propos de Josef, lorsque la femme de Potifar venait chaque jour voir Josef le suppliant de succomber à la tentation de l’adultère il est écrit quasiment le même langage que Mardochée (Genèse chapitre 39, verset 10), ‘’ויהי כאמרה אליו יום יום ולא שמע אליה’’ ‘’Et alors qu’elle lui répétait chaque jour il ne l’écoutait pas’’. De même, leur grandeur et leur récompense est identique car à propos de Josef il est écrit (Genèse chapitre 51, verset 2) ‘’ויסר פרעה את טבעתו’’ ‘’Et Pharaon retira sa bague (pour la donner à Josef)’’ et à propos de Mardochée il est écrit (Esther chapitre8, verset 2) ‘’ויסר המלך את טבעתו’’ ‘’Et le roi retira sa bague (pour la donner à Mardochée)’’.

            Ce midrash n’a pas pour but de nous raconter des histoires de grands mères avant d’aller se coucher. Ce Midrash veut en réalité que nous allions comprendre en amont la raison de la grandeur et l’élévation de ces Tsaddikims au titre de vice roi avec tous les honneurs qui vont avec. Comment Josef et Mardochée en sont arrivés à ces récompenses alors qu’aucun autre Tsaddik n’en est arrivé là ?

            Afin d’essayer de répondre à cette question, analysons maintenant pourquoi Dieu enlève en règle générale le bon et la tranquillité chez les justes. A priori, on peut répondre que Dieu essaye de les aider. En effet, les justes se trouvent à un niveau supérieur qui est l’attachement à Dieu et la préoccupation de Le servir. Or, si Dieu leur amenait la tranquillité et le bonheur, ils seraient attirés vers la matière et pourraient délaisser Dieu, c’est pour leur faciliter la tache et ne pas leur amener des tentations vaines que Dieu leur envoie des malheurs de temps en temps. Dans la même optique, essayons de comprendre comment se fait-il que des impies et des méchants soient tranquille et ne soient pas punis. Le midrash rapporte que le peuple d’Israël a demandé à Dieu pourquoi Il laisse les impies et les idolâtres impunis ? Ce à quoi Dieu leur a répondu par une métaphore. C’est comme une vigne, une personne possédant une vigne ne va pas vendanger sa vigne tant que les fruits ne sont pas encore bien mures. Il suffit d’attendre que les fruits soient bien mûrs et à ce moment on pourra réclamer les fruits. Ce Midrash est très complexe et demande deux introductions.

            La première introduction concerne Abraham Avinou lorsqu’il est devant Sodome et Gomorrhe et qu’il implore Dieu de ne pas détruire ces villes. Le langage d’Abraham est le suivant, (Genèse chapitre 18, verset 25) ‘’חלילה לך מעשות כדבר הזה להמית צדיק עם רשע’’ ‘’cela est profane pour toi de faire une chose pareille qui est de tuer le juste avec l’impie’’. Abraham s’adresse à Dieu en lui disant que ce qu’il va entreprendre n’est pas une chose faisable car cela relève du profane. Il existe deux sortes de destructions, une destruction totale qui n’amène rien de bon car cela détruit uniquement pour but de détruire. Et, il existe une destruction qui n’est en réalité que bénéfique car elle sert à amener du bon. On détruit pour faire repousser de manière plus belle et plus harmonieuse. Or, Dieu ne s’amuse pas à détruire pour seule fin la destruction. S’il détruit cela n’est que parce qu’il y a du bien derrière cela. Cela ressemble à un paysan qui laboure et ensuite plante du blé. Si une personne l’observait sans comprendre ce qu’il fait il pourrait le prendre pour un fou. D’abord il détruit sa terre avec la charrue et en plus de ça il jette ses graines dans la terre et donc il les perd. En réalité de ce travail qu’a entrepris le paysan ressortira une belle récolte. De même, pour Dieu tout ce qui apparait pour nous comme une destruction n’est en réalité qu’un laboure et une semence qui feront pousser une belle récolte. C’est pour cela que nous avons l’obligation de bénir Dieu de la même manière lorsqu’il nous arrive un bienfait ou un malheur. C’est pour cela que le Midrash a comparé les malheurs du peuple juif à une vigne. Après la récolte de cette vigne, on prend les raisins et on les écrase. Cela ressemble à une destruction et pourtant le jus qui en sort de ces raisins va nous permettre de faire du bon vin et donc de tirer un profit invraisemblable. L’exil et la destruction nous permettront de jouir d’une délivrance et d’une paisibilité qu’on ne peut imaginer. Le plaidoyer d’Abraham pour Sodome et Gomorrhe était dans cette logique. Comment peux-tu détruire un impie avec un juste ? Cela relève de la destruction qui n’apporte rien. Encore l’impie on peut comprendre mais pourquoi le juste ? Il fallait détruire les impies et laisser le juste voire cela pour qu’il tire les leçons qui l’aideront à s’améliorer.

            Passons à présent à la seconde introduction qui concerne les bontés que l’on peut recevoir dans ce monde. A priori, la majorité des bontés ne peut se recevoir ici si ce n’est après la venue du messie. Car les bontés pour le peuple d’Israël n’apportent pas que du bien mais apporte aussi la possibilité de se détourner du droit chemin. C’est pour cela que les Bne Israël doivent être prêts pour recevoir ces bontés. Tous ce qu’Essav possède ne sera uniquement profitable qu’au peuple d’Israël car lorsqu’Essav est né, Jacob le tenait par le talon. Mais, Dieu ne peut détruire Essav si le Peuple d’Israël n’est pas encore prêt à recevoir les possessions d’Essav car cela relèverai d’une destruction non profitable. C’est pourquoi, Dieu a dit d’attendre que la vigne soit mure pour vendanger. Dieu ne va punir les impies et les idolâtres uniquement si cela est profitable pour le peuple d’Israël.

            Revenons à présent à notre question de départ. Pourquoi il y a des justes qui souffrent dans notre si beau monde ? Si un homme a réussi à dominer son mauvais penchant et à ne suivre que le bien, pourquoi le priver du bonheur dans ce monde ?

            La guémara dans Bera’hot (7.) présente ainsi : le Tsaddik qui est heureux et qui n’a pas de malheurs c’est un juste complet. Ce juste est en réalité un Tsaddik qui a dominé son mauvais penchant et qui ne suit désormais que son bon coté. En réalité, Josef et Mardochée étaient confrontés chaque jour à la tentation. L’un la tentation de l’adultère et l’autre la tentation de l’idolâtrie. Mais, ils ont tous les deux eu une domination jusqu'à la destruction totale de leur mauvais penchant. Ils ont enduré une épreuve si ardue que désormais les autres épreuves paraissent comme des futilités face à cela et donc ils ne sont plus dérangés par leur Yetser ara.  C’est pour cela, qu’eux et uniquement eux, méritent leurs grandeurs qui sont le bonheur et la tranquillité dans ce monde car ils ne risquent pas d’être attirés par d’autres tentations.

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commentaires

C
<br /> <br /> Bon article. D'accord que la conclusion est pertinente, la victoire sur une épreuve charge de confiance pour les suivantes.<br /> <br /> <br /> Mais la BAGUE alors??? et les hautes responsabilités civiles qu'ils ont obtenus? Quel est le lien?<br /> <br /> <br /> bonne continuation<br /> <br /> <br /> et range ton portable s'il te plait<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Desolé pour le petit retard pour la réponse. En fait je pense ne pas avoir été assez clair concernant cette histoire de bague. Je croit avoir expliqué clairement dans l'article que Dieu envoie<br /> des souffrances aux Tsaddikims pour les aider à combattre leur mauvais penchant. En effet, grace au fait qu'ils ont des difficultés ils ne sont pas attirés par le matériel (en tout les cas ils se<br /> détachent de ce matériel pour se tourner vers Dieu). Ce qui s'est passé avec Yossef et Mordé'haï c'est qu'ils ont réussis à combattre leur mauvais penchant jusqu'a un tel niveau que le mauvais<br /> penchant ne les atteignait plus. Les tentations du pouvoir ou des choses abstraites et matériels n'avaient plus d'impact sur eux. A ce moment Dieu a décidé de leur donner à eux et UNIQUEMENT à<br /> eux (en tant que tsaddikims) la bague du pouvoir et donc la possibilité de vivre une vive matériel comme spirituel sans souffrances. La bague qu'ils ont reçus est le symbole du pouvoir. Or, le<br /> pouvoir est une des tentations matériels les plus fortes! (petit clin d'oeil à notre cher président!) Une personne doté de pouvoir est de fait attiré par le matériel. C'est ce qui fait marcher la<br /> corruption d'ailleurs pour la parenthèse. Mais Yossef et Mordé'hai n'avait plus d'attirances pour ces choses la donc dieu leur a permis de s'y retrouver? Il n'y avait plus d'interet à leur<br /> envoyer des souffrances.<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> <br /> Bel article, bel conclusion.<br /> Or tenter de comprendre la signification du mal est un défi qui malgré sa douce célébrité n’a pas encore était résolue, a mon gout du moins.  <br /> <br /> <br /> Moi je me le demande ; Moché Rabbénou, Job, Akiva Zyzek et tant d’autres : mais<br /> n’est t’il pas absurde que d’essayer de rationaliser le mal ? De le justifier ?<br /> Si on le rationalise, sa veut aussi dire qu’on lui rend tout sa légitimité.<br /> <br /> <br /> <br /> C’est vrai, il faut prendre un recul historique pour comprendre le pourquoi de mal.<br /> Le Maharal (Dereh Hayim sur la Michna עשרה ניסינות לאברהם אבינו) explique qu’il existe trois sorte de but pour lequel Dieu a envoie des souffrances au personne qui s’efforce d’exécuter sa<br /> volonté:<br /> <br /> <br /> Montrer la piété du Tssadik, c'est-à-dire lui donner la possibilité d’extériorisé son<br /> potentiel. De se réaliser.<br /> <br /> <br /> De blanchir : (C'est-à-dire considérer le mal comme expiateur des fautes. Le Néfech<br /> Ha-hayim prend l’exemple d’un bébé excrémenteux, qui ignore qu’il est excrémenteux, sa mère lui enlève les couches, et le met dans l’eau bouillante : il se met à hurler, il ne sait pas<br /> pourquoi on lui fait mal. Nous sommes exactement comme cet enfant.  <br /> Pour nous, il n’y a pas de faute, donc on souffre pour rien. C’est évident que la douleur est plus simple quand elle a une finalité).<br /> <br /> <br /> Et puis l’idée de l’exemple connue du type qui vient acheter un bocal et que le marchand<br /> teste que le bocal qui sais bien qu’il ne va pas se casser : c'est-à-dire pour faire taire la קיטרוג on ne prend pas de risque et on utilise les meilleurs…les juifs<br /> quoi.<br /> <br /> <br /> Mais d’une certaine manière ce sujet est une question sans réponse.<br /> Comment oser dire sa a quelqu’un qui souffre ? Comment tenter de répondre a la souffrance, aussi bien physique que moral ou spirituel, par la simple raison ?!!<br /> <br /> <br /> Je  ne suis pas d’accord avec ce que tu dis,<br /> «c’est pour leur faciliter la tache …que Dieu leur envoie des malheurs de temps en temps. »<br /> Comment, en étant logique tu peux dire sa ?<br /> Si un truc horrible arrive dans ta vie sa va pas faciliter ta tache du tout, sa va bien la compliquer, déjà que Dieu augmente la possibilité que je décide de l’abandonner  en conséquence des<br /> problèmes que Dieu m’envoie ?! On a beaucoup plus de mauvaise tentations spirituel dans ce cas –et c’est humain je pense.<br /> <br /> <br /> Dans l’introduction du ספר החינוך l’auteur tente aussi d’expliquer la raison des souffrances des<br /> justes dans ce monde si, et il écrit bien que beaucoup dans le peuple juif n’ont pas encore compris la réel signification des souffrances et que sa les dérange dans leur service divin, au lieu de<br /> les aider.<br /> Mais je vois pas comment Dieu, en 2011, peut-il attendre d’un etre humain que sa l’aide ?<br /> T’a conclusion me rappelle aussi un passage de l’introduction du ספר החינוך qu’entre parenthèse tu devrais lire, il parle qu’Avraham a été<br /> béni בכל  en tout, dans ce monde<br /> si et celui d’avenir vu qu’il n’avait pas besoin d’expier ses fautes. (Bon je ne vois pas trop comment il a pu dire sa vu que la vie d’Avraham n’était pas qu’un grand kiffe, et qu’il y’a bien<br /> écrit a la fin de Chabbate 55b qu’il existe des souffrances sans péché).<br /> A plus ! <br /> <br /> <br /> PS : Sinon pour le parallèle tu peux aussi mettre זעקה גדולה ומרה d’Essav et ensuite de Mordéhai ;)<br /> <br /> <br /> <br />
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M
<br /> <br /> Bel article, bel conclusion.<br /> Or tenter de comprendre la signification du mal est un défi qui malgré sa douce célébrité n’a pas encore était résolue, a mon gout du moins.  <br /> <br /> <br /> Moi je me le demande ; Moché Rabbénou, Job, Akiva Zyzek et tant d’autres : mais<br /> n’est t’il pas absurde que d’essayer de rationaliser le mal ? De le justifier ?<br /> Si on le rationalise, sa veut aussi dire qu’on lui rend tout sa légitimité.<br /> <br /> <br /> <br /> C’est vrai, il faut prendre un recul historique pour comprendre le pourquoi de mal.<br /> Le Maharal (Dereh Hayim, sur la Michna עשרה ניסויות נעשו לאברהם) explique qu’il existe trois sorte de but pour lequel Dieu a envoie des souffrances au personne qui s’efforce d’exécuter sa<br /> volonté:<br /> <br /> <br /> Montrer la piété du Tssadik, c'est-à-dire lui donner la possibilité d’extériorisé son<br /> potentiel. De se réaliser.<br /> <br /> <br /> De blanchir : (C'est-à-dire considérer le mal comme expiateur des fautes. Le Néfech<br /> Ha-hayim prend l’exemple d’un bébé excrémenteux, qui ignore qu’il est excrémenteux, sa mère lui enlève les couches, et le met dans l’eau bouillante : il se met à hurler, il ne sait pas<br /> pourquoi on lui fait mal. Nous sommes exactement comme cet enfant.  <br /> Pour nous, il n’y a pas de faute, donc on souffre pour rien. C’est évident que la douleur est plus simple quand elle a une finalité).<br /> <br /> <br /> Et puis l’idée de l’exemple connue du type qui vient acheter un bocal et que le marchand<br /> teste que le bocal qui sais bien qu’il ne va pas se casser : c'est-à-dire pour faire taire la קיטרוג on ne prend pas de risque et on utilise les meilleurs…les juifs<br /> quoi.<br /> <br /> <br /> Mais d’une certaine manière ce sujet est une question sans réponse.<br /> Comment oser dire sa a quelqu’un qui souffre ? Comment tenter de répondre a la souffrance, aussi bien physique que moral ou spirituel, par la simple raison ?!!<br /> <br /> <br /> Je  ne suis pas d’accord avec ce que tu dis,<br /> «c’est pour leur faciliter la tache …que Dieu leur envoie des malheurs de temps en temps. »<br /> Comment, en étant logique tu peux dire sa ?<br /> Si un truc horrible arrive dans ta vie sa va pas faciliter ta tache du tout, sa va bien la compliquer, déjà que Dieu augmente la possibilité que je décide de l’abandonner  en conséquence des<br /> problèmes que Dieu m’envoie ?! On a beaucoup plus de mauvaise tentations spirituel dans ce cas –et c’est humain je pense.<br /> <br /> <br /> Dans l’introduction du ספר החינוך l’auteur tente aussi d’expliquer la raison des souffrances des<br /> justes dans ce monde si, et il écrit bien que beaucoup dans le peuple juif n’ont pas encore compris la réel signification des souffrances et que sa les dérange dans leur service divin, au lieu de<br /> les aider.<br /> Mais je vois pas comment Dieu, en 2011, peut-il attendre d’un etre humain que sa l’aide ?<br /> T’a conclusion me rappelle aussi un passage de l’introduction du ספר החינוך qu’entre parenthèse tu devrais lire, il parle qu’Avraham a été<br /> béni בכל  en tout, dans ce monde<br /> si et celui d’avenir vu qu’il n’avait pas besoin d’expier ses fautes. (Bon je ne vois pas trop comment il a pu dire sa vu que la vie d’Avraham n’était pas qu’un grand kiffe, et qu’il y’a bien<br /> écrit a la fin de Chabbate 55b qu’il existe des souffrances sans péché).<br /> A pluus !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> PS : Sinon pour le parallèle tu peux aussi mettre זעקה גדולה ומרה d’Essav et ensuite de Mordéhai ;)<br /> <br /> <br /> <br />
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E
<br /> <br /> Vraiment tres joli, surement la reponse a bcp de gens. הצלחה !! ;)<br /> <br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> Merci Eythan, j'espère au moins que ce n'est pas une réponse trop clair sinon c'est trop facile. Comme il disait l'autre si vous m'avez compris c'est que je me suis mal exprimé!! <br /> <br /> <br /> <br />

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  • Les questions affluent, le bouton pause n'existe pas dans la dynamique de quete de snes. J'essaie de partager quelques reflexions que j'ai put avoir. Je pense que l'étude comme le souligne Maimonide est avant tout un moyen de rendre éternel la Tora
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